Dans la nuit du 4 au 5 février, j’ai rêvé que j’étais dans une librairie afin de promouvoir Diadème rose, le dernier de mes romans sentimentaux aux éditions gaies et lesbiennes.
Je ne connaissais pas cette librairie. Par contre, Mireille, de Blue Book Paris, était là, toujours aussi disponible pour chacun. Elle avait d’ailleurs fort à faire car le roman, arrivé la veille, avait été divisé en deux volumes imprimés à la Ronéo en format A4 et relié, le premier avec des agrafes, le second avec une spirale en plastique. Les feuilles, en outre, avaient été froissées lors du transport et Mireille les repassait afin de tenter de donner un peu d’allure à ce tirage qui n’en avait guère.
Je me suis réveillée contrariée, on s’en doute ; inquiète aussi de comment Diadème rose sortirait de chez l’imprimeur. Il y avait sans doute passé sa dernière nuit pendant mon cauchemar puisque dès le mardi 6, les éditions gaies et lesbiennes m’indiquaient que les premiers exemplaires étaient arrivés.
Étaient-ils en bon état ? Ils l’étaient… Ouf ! J’ai donc récupéré mes exemplaires d’auteure et me suis empressée de les distribuer à celles et ceux de ma famille et de mes proches à qui je les destinais. Maintenant, le livre est en librairie, en un seul morceau, avec sa couverture kitch comme on n’en fait plus.
Il est à vous, si vous le décidez, et je ne souhaite qu’une seule chose : que vous passiez un agréable moment de lecture.
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