J’aime quand tu me prends. J’aime quand tu m’étreins. Ta peau se fond dans la mienne. On se coud. On s’emmêle. J’aime la touffeur de nos émois. Regarde ma main qui se promène ; elle devine les combes et les avens. Regarde mes yeux qui brillent. Ce sont tes reins qui les portent en braise et je me délecte à imaginer ton ventre plein.
… Lire la suite…
Blogue — Photocriture
[Photocriture] 201012_03
Information publiée le samedi 9 juillet 2011.
Article précédent
/
Article suivant
Retour à tous les articles