Une décade en Hétéronomie, c’est chaque fois une tranche de vie avec ses présents, ses passés et ses futurs, Isabelle, Frédéric et Cécyle, sans se consulter, ayant le don de faire briller la boule à facettes, celle qui illumine chacun par clignotement autant que Marilyn était lumineuse et ne l’était pas (« Commémoration @20 »). Le feu, tout est question de feu, celui du soleil que l’on dompte pour sauver la planète (« Paris @53 ») pendant que les marchands profitent de notre engagement pour nous barboter cinquante centimes (« Réclamation @58 »), et celui qui n’a d’autre vocation que celle de détruire en dépit de l’intervention des pompiers (« Aïe @29 ») parce que la mort dit la vie à un point parfois que c’est difficile de l’imaginer (« Bigleuse @109 »).
Et la boule tourne pour éclairer le passé révolu (« Paris @52 ») ou non, considérant que l’histoire ne s’arrête jamais (« Année @11 ») à notre insu, ou parce que justement on a envie de la continuer tant elle est aussi difficile que belle (« Kendo @50 »). C’est à cet instant que se dessine le futur. On s’en remet à la boule à facettes.
Blogue — La vie en Hétéronomie
[La vie en Hétéronomie] — 27 juillet ; 6 août 2019
![Cy Jung — [La vie en Hétéronomie] — 27 juillet ; 6 août 2019](local/cache-vignettes/L152xH300/ventilo-704f5.jpg?1565083250)
Information publiée le mercredi 7 août 2019.
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