Il semblerait que cette décade soit à placer sur le trône de l’art (Art ?), tant en Hétéronomie tout est prétexte au beau, Isabelle, Frédéric et Cécyle ayant grande conscience qu’il est toute chose en quoi l’humanité s’incarne.
— Pardon ?
On t’explique Caddie (accroche-toi ! ça déchire). Il y a d’abord le plus évident, auquel tu ne peux que succomber, la beauté mortuaire et non mortifère, comme dirait Malraux (« Année @10 »), et la beauté cubiste de la guerre, comme dirait Léger (« Grand homme @26 ») qui trouvent leur avènement dans le fruit sec de l’industrie du livre (« Écrivaine @42 »). Ensuite, l’humanité nous propose une beauté du geste, de la fuite d’eau en kimono (« Fenêtre @20 ») à l’amour qui transcende (ou pas) le code de l’Aide sociale (« Bigleuse @101 »). Et pour clore cette décade expositoire (on ose !) qui tire sa beauté de l’incroyable collection, tu as la beauté de la résistance collective à la pollution (« M’sieur, M’dame @13 ») même si parfois la fumée noire est une bonne nouvelle (« Crédo @14 »).
— l’Annonciation ?
Exactement Caddie. Le cœur de la décade.
Blogue — La vie en Hétéronomie
[La vie en Hétéronomie] — 17 ; 26 mars 2019
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Information publiée le mercredi 27 mars 2019.
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